Sexuality and Romantic Relationships in the Digital Age

There’s a long-standing relationship between sex and the Internet. As far as back the 1980s, Usenet and local bulletin board systems were used to share pornographic text files and crude (in both senses) graphics, and people have been using digital media to form and carry out online relationships at least as long. However, just as estimates of how much online traffic and content is made up of sexual material tend to be exaggerated[1], our new report – Sexuality and Romantic Relationships in the Digital Age – from MediaSmarts’ Young Canadians in a Wired World survey of 5,436 students, shows that for Canadian youth, sexuality and romantic relationships play a fairly small part of their online lives.

La sexualité et les relations amoureuses à l'ère du numérique

Une relation de longue date existe entre Internet et le sexe. D'aussi loin que les années 1980, Usenet et les systèmes de babillard électronique locaux étaient utilisés pour partager des fichiers texte pornographiques et des images grossières, et les gens se servaient des médias numériques pour établir et entretenir des relations en ligne. Toutefois, les estimations portant sur le volume de trafic en ligne et le contenu à teneur sexuelle ont tendance à être exagérées[1] et notre nouveau rapport – La sexualité et les relations amoureuses à l'ère du numérique – tiré du sondage d'HabiloMédias Jeunes Canadiens dans un monde branché, mené auprès de 5 436 élèves, montre que la sexualité et les relations amoureuses n'occupent qu'une place relativement petite dans la vie en ligne des jeunes Canadiens.

Sexting and youth: Confronting a modern dilemma

It’s hard to think of a recent digital technology issue that’s captured the public imagination more than sexting. This may be because it combines elements of the classic moral panic with more modern “technopanic,” provoking worries not just about the morality of our children – and, in particular, young girls – but also about the possible effects of technology on how we grow, think and behave. As with most panics, of course, the issue is substantially more complicated and less sensational than we perceive it to be, and while it’s unlikely that our worries about sexting will ever seem in retrospect to be as absurd as our grandparents’ fears about crime comics, MediaSmarts’ new data shows that many of our beliefs and assumptions on the subject need closer examination.

Le sextage et les jeunes : confronter un dilemme moderne

Parmi les enjeux récents associés à la technologie numérique, peu n'enflamment autant l'imagination du public que le sextage. Peut-être est-ce parce qu'il combine des éléments de la panique morale classique à des préoccupations modernes, qualifiées de « technopanique », à propos de la moralité de nos enfants – en particulier celle des jeunes filles – et de l'impact potentiel de la technologie sur la croissance, le raisonnement et le comportement. Bien entendu, comme pour la plupart des cas de panique, le problème est beaucoup plus compliqué et moins sensationnel que nous ne le percevons. S'il est peu probable que nos inquiétudes à l'égard du sextage paraîtront un jour, en rétrospective, aussi absurdes que les craintes qu'avaient nos grands-parents à propos de la criminalité dans les bandes dessinées, les nouvelles données d'HabiloMédias indiquent que nous devrions revoir en profondeur un grand nombre de nos opinions et hypothèses sur le sujet.